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Le gestionnaire de qualité et la réussite des entreprises

Pour mon dernier article de l’année, j’ai décidé de parler d’un sujet qui ne fait pas directement partie du monde des TI, mais qui est nécessaire aux entreprises qui désirent prendre de l’expansion et qui veulent se différencier de leurs compétiteurs.

J’ai donc décidé de parler du poste de gestionnaire de qualité. Le qualiticien est en sorte la ressource qui peut permettre à votre entreprise une survie dans les années à suivre.

Nous le savons, le monde des affaires évolue à une vitesse fulgurante et pour suivre cette course, elles ont besoin d’un professionnel de ce domaine. Dans le début des années 80, les entreprises étaient axées sur une structure dite « routinière » où chaque jour se ressemble et se répètent. À cette époque, il était facile d’établir un procédé optimal permettant le bon fonctionnement du commerce. Cependant, l’expansion était lente, les gestionnaires se promenaient avec des œillères les empêchant de se retourner vers la vue extérieure. Ainsi, il arrivait souvent qu’après quelques années, ils se heurtaient à un échec puisqu’ils n’essayaient pas de trouver de nouvelles techniques de procédés et ne regardaient pas non plus dans la cour de leurs voisins-compétiteurs.

La différence avec les entreprises d’autre fois c’est que les contrôleurs savaient, mais un ouvrier ne savait pas. Aujourd’hui, c’est souvent l’inverse. Dans le monde des TI, les équipes de travail sont beaucoup plus au courant des projets en court que les gestionnaires au-dessus d’eux. On pourrait même dire que les équipes de développement sont les piliers modernes pour ces entreprises. Le rôle a donc changé et sans un gestionnaire de qualité, ce virage aurait mené droit à un échec.

Quels sont les objectifs d’un gestionnaire de qualité ?

  • Rendre les procédés plus simples même si nous sommes dans un monde de plus en plus complexe.
  • Faciliter la gestion de la complexité.
  • Favoriser les courbes d’apprentissage qui sont de plus en plus rapides.
  • Permettre aux entreprises d’exceller.

Les entreprises vont voir n’être de nouveaux paradigmes d’amélioration en plus du Lean et de l’agilité.  Le lean est-il devenu trop statique pour la vélocité des marchés d’aujourd’hui ? Seul le temps nous le dira. Mais il faudra que les entreprises s’adaptent rapidement puisqu’il est aussi question de changements de culture.

Plusieurs études affirment que l’adoption d’un nouveau comportement, une nouvelle habitude prend au minimum 21-29 jours consécutifs pour que celui-ci devienne routinier (automatique)

Toutefois, ces délais négligent plusieurs facteurs. Plus le comportement est contre l’instinct ou l’habitude, plus le délai augmentera. Il faut que les employés veuillent appliquer les changements en plus des gestionnaires. Sinon, il y aura un conflit de la vision et les employés représenteront mal la culture de celle-ci.

Pour terminer, il est impératif de rester à l’écoute de ses employés, ils sont le miroir de ce qui se passe en premier plan. Alors, adaptez vos techniques, modifiez votre façon de procéder et restez à l’affut de vos compétiteurs. La réussite n’arrivera pas en gardant votre tête dans le sable.

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